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Blue Spring - Aoi Haru - 青い春
Un film japonais de Toshiaki Toyoda - 2001
avec Ryuhei Matsuda, Hirofumi Arai, Sôsuke Takaoka, Yusuke Oshiba, Yuta Yamazaki...
Une jeunesse désenchantée confrontée à une réalité qui est celle de la vie d’adulte. Qu’ils le veuillent ou non, la douzième année pour ces jeunes représente le dernier moment de répit avant de choisir la voie dans laquelle ils devront s’engager. Ils doivent choisir une occupation, illicite ou pas, qui marquera le coup d’envoi de leur vie et de leur chance de réussite dans la société.
Extrait / Bande-annonce
Tags : blue spring, toshiaki toyoda, film japonais, matsuda, jfilm, japan, aoi haru
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Commentaires
Merci également pour le compliment, j'aime bien aussi le design de votre blog, c'est clair et on s'y retrouve facilement. L'entête est jolie en plus.
Je connais pas très bien la culture japonaise (qui m'intéresse beaucoup) mais je découvre petit à petit grâce à des blogs comme le votre.
Mon blog dramas&eiga me tient aussi beaucoup à coeur...c'est toujours un plaisir de partager sa passion!
je n'ai pas vu Harmful Insect mais je compte bien le faire. Il y a effectivement un mal être au sein de la jeunesse et sans doute plus encore au sein de la société mais qui est moins mis en évidence je suppose.
Je viens de découvrir vos deux blogs et tous mes compliments. je vais y passer un peu de temps je pense. Et j'aime en plus leur mise en page.
Merci de tout coeur pour Ame no Koi. J'ai peu de temps libre mais ce blog me tient énormément à coeur. A vous lire avec plaisir.J'ai vu ce film il y a 2 semaines environ et je l'ai trouvé excellent, je ne m'attendais pas du tout à ça, c'est vraiment bien fait et la bande-son est aussi excellente, ainsi que les acteurs.
Toyoda Toshiaki a su parfaitement parler de cette jeunesse japonaise, ce mal-être adolescent tout comme Iwai Shunji avec All about Lily Chou-Chou et Shiota Akihiko avec Gaichu (Harmful Insect).
Sinon, je visite régulièrement votre blog que je trouve très sympa et intéressant et j'aime beaucoup les thèmes, les sujets abordés.
Bonne continuation.
Un univers quasi carcéral où la violence est la seule expression de libération. Une violence exarcerbée par la peur de devoir franchir l'enceinte de l'établissement et d'affronter la vie d'adulte. la relation de Kujo avec le jardinier vient parfaitement illustrer le paradoxe qui semble détruire cette jeunesse, à savoir, pourquoi vivre s'il n'y a pas d'avenir pour nous. Mais de même que Kujo tente de garder sa place de meneur, il continue d'arroser les fleurs... La vie et le bonheur possible s'inscrivent entre le rien, le vide et notre néant à venir. Toshiaki Toyoda nous montre toute la difficulté du rituel de passage dans une époque où les adultes, parents, professeurs, semblent s'être absentés et exemptés de leur devoir.
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