• Tatsumi Dessinateur et observateur sans concession, Yoshihiro Tatsumi 辰巳 ヨシヒロ nous livre, au-delà de son oeuvre vivante et bouleversante du Japon d'après-guerre, sa perception des mutations sociales et politiques qui entraîneront le pays sur la voie de la culture de masse, de l'enfer du productivisme et de la négation de l'individualité.

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  • La Colline aux Coquelicots Nous sommes en 1963, à la veille des Jeux Olympiques de Tokyo. Umi, jeune lycéenne, vit avec sa famille et des pensionnaires dans une vieille maison, perchée au sommet d’une colline qui surplombe le port de Yokohama. Chaque matin, depuis la disparition de son père, Umi hisse sur un mât fabriqué par son grand-père spécialement pour elle, deux pavillons en guise de message vers le ciel et l'horizon. Ce qu'elle ignore, c'est que tout en bas, dans la baie, quelqu'un lui répond, en silence...

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  • spirits victor vu J'ai eu l'occasion d'acheter dimanche sur le marché quelques DVD à 1 euro pièce (J'adore fouiller l'étalage sans savoir ce que je vais y trouver). Mais on ne peut pas gagner à tous les coups et très franchement, le film Spirits de Victor Vu ne m'aura pas laissé une bonne impression. Beaucoup de monde au générique pour cette histoire de fantômes qui semble tournée par un amateur. Trop de répétitions dans le scénario qui ne décolle pas, des effets médiocres inspirés encore et toujours de Ring. Bref... malgré la présence de Tuan Cuong (Loc) qui tient le film à bout de bras, on s'ennuie.

    Film de 2004 réalisé par Victor Vu
    Origine : Vietnam / Etats-Unis
    Titre original : Oan Hôn

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  • la ballade de l'impossible Norwegian wood Trần Anh Hùng  qui nous avait déjà envoutés avec L'Odeur de la Papaye Verte nous plonge cette fois à la fin des années 60, dans un Tokyo agité par les révoltes contre les institutions. C'est dans ce monde en pleine mutation que Watanabe (Ken'ichi Matsuyama), jeune étudiant, va découvrir l'amour, avec la violence des sentiments que l'on éprouve pour la première fois, avec son lot de cruauté, de délices, d'inaccessibilité au bonheur et d'espoir.
    L'esprit du livre de Murakami y est respecté.
    Une magnifique promenade à travers les âmes accompagnée d'une bande son de premier ordre. J'ai notamment adoré réentendre le merveilleux "She brings the rain" de CAN...

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  • The Blood Ne cherchez pas... The Blood n'est pas encore sorti sur les écrans. Guillaume Tauveron, autodidacte et passionné du Japon a déjà une longue expérience derrière lui et a notamment travaillé aux côtés de Hiroshi Toda. Il est aujourd'hui à la recherche d'un complément de financement pour son prochain film qui doit se dérouler au Japon avec des acteurs japonais. Il n'est donc pas trop tard pour devenir co-financeur avec 5 euros en poche^^

    Procédure et infos sur le site de Guillaume 手順と情報

    ビデオ作家のギヨーム・トヴロンが、日本で日本人俳優とともに短編映画を製作中です。製作費用の最低ラインはクリアしていますが、より良い映画を製作するためにはもう 少し資金が必要です。ご協力いただいた方には、DVDを郵送し、映画の最後のクレ ジットに出資者のリストに名前を加えさせてもらいます。5ユーロからの援助が可能(Paypalまたは小切手)です。あと3週間しかありません。ご興味のある方はお急ぎを!

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  • cold fever コールド・フィーバー Les terres reculées de l'Islande ne changeant pas beaucoup, le film n'a pas trop subi les effets du temps. Hirata qui était sur le point de partir à Hawaï faire du golf se décide enfin, après quelques années, à se rendre sur les lieux de la mort de ses parents pour leur rendre hommage et pratiquer le rite funéraire d'usage. Sa traversée de l'Islande qui doit le conduire au bord de la rivière Kaldakvisl se décline en un road movie désopilant et singulier.

    Pour quelques jours encore, vous pouvez le voir en streaming :
    http://replay.fr/cold-fever-streaming-155350

    Film de Fridrik Thor Fridriksson, 1995, 1h22mm
    Avec : Masatoshi Nagase 永瀬 正敏
    Fiche du film en japonais - en français

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  • kaojikara J'ai découvert un peu au hasard de mes recherches le très fascinant court-métrage d'Eric Dinkian, Kaojikara, avec dans le rôle principal Karin Shibata. Une réalisation onirique où j'ai retrouvé avec plaisir tout ce qui fait  habituellement  le charme de l'étrange dans le cinéma asiatique. Rythme syncopé, détails sublimes en plein milieu de l'action, aucune image inutile, passage de la couleur au noir et blanc sans contrainte, jusqu'au générique de fin que je mettrais bien en économiseur d'écran (thème musical magique de Sourya). Sans faute pour ce budget zéro. Le court est désormais visible dans son intégralité. C'est mon coup de coeur de cette semaine. Un 13mn d'électrocution tourné dans mes endroits préférés.

    Visionner Kaojikara

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